Nombreux sont les surnoms féminins qui terminent par -ette.
En effet, W. Ikipédia (poète japonais du 17e siècle) nous explique que ce suffixe marque quelque chose de petit. Donc de mignon, si on en crois le vieil adage...
Fleurissent donc les "choupette", "choupinette", "poupinette" et autres sandalettes ! Laisse-moi maintenant te montrer à quel point ce suffixe est désuet... et provocateur de nausée fulgurante.
Tu oserais appeler une maison, une maisonnette ? Non ! La seule exception est si elle est cachée dans le pays de Disney avec des Bambis, des nains et une pauvre orpheline qui balaye le plancher !
Mais quand il s'agit de surnom, tu le donnes à tout-va, de cette petite voix mielleuse et attendrie... Tes amis, ta famille ou même de simples passants, estomaqués, penseront que tu as perdu la tête et que ton âme s'est égarée...
Non parce que franchement, tu appellerais une salope, une salopette ?! Non... c'est bien ce que je pensais.
Bientôt en broderie pour strings !
Oh et les hommes, ne riez pas trop hein ! Parce que le pendant masculin (enfin... masculin... un bien grand mot tout ça...) est le -ou : choupinou, chouchou, doudou, dugenou...
Je ne sais pas vous, mais j'imagine plutôt ce genre d'homme avec un micropéni' qu'avec un engin à faire pâlir un acteur X ! (Mais je n'aime pas extrapoler, vous me connaissez !)